Savez-vous combien y a-t-il de comptes email dans le monde ? Plus de 5 milliards ! Un beau terrain de jeu pour l’email marketing. Presque 300 milliards d’emails sont envoyés chaque jour, hors spam. Si vous êtes un professionnel du marketing direct, vous pouvez trouver difficile de vous frayer un chemin dans ce volume… C’est toujours compliqué de vendre ses produits et séduire des consommateurs hyper sollicités !
Le courrier électronique reste pourtant l’outil de communication préféré des particuliers. Bien exploité, il reste l’un des canaux les plus rentables de votre stratégie webmarketing. La segmentation est une des clés de cette efficacité, encore faut-il la maîtriser ! Voici des éléments qui vont vous permettre de structurer votre stratégie de segmentation.
Aux débuts de l’internet, il était courant de recevoir le même email que tout le monde, et ça ne choquait pas plus que ça. Après tout pendant des années les marques ont mis dans nos boîtes aux lettres la même publicité pour tout le monde… Mais avec l’explosion des emails reçus, plus personne n’a le temps de regarder la pub. Sauf si, bien sûr, « elle tombe bien ». Reste alors deux options :
Si vous avez opté pour la première solution, vous avez à peu près tout faux. Le mass-mailing n’est pas seulement inefficace, il est aussi dangereux pour vos performances globales. Dans une telle stratégie, vos taux d’ouverture vont être au plus bas, envoyant aux clients email des signaux sur la moindre qualité de votre message. Résultat : la prochaine fois vous irez en spam directement. Et votre nom de domaine sera considéré comme peu fréquentable, au point que même si vous envoyez un message direct à quelqu’un que vous connaissez personnellement celui-ci a toutes les chances d’atterrir dans le dossier « pourriel ».
Deuxième effet, et non des moindres, l’image désastreuse que cela renvoie de votre marque, entreprise ou service. Mettez-vous à la place de votre prospect : s’il reçoit chaque semaine un email qui ne lui correspond en rien, il y a fort à parier qu’il vous assimile à du spam et qu’il nourrisse des sentiments négatifs à votre égard. Non seulement votre email ne sera pas efficace, mais il sera même contre-productif.
Mettre en place la segmentation de vos adresses email n’a que des effets positifs, même si vous n’avez qu’une seule offre ! Vous allez optimiser vos performances, à plusieurs niveaux :
Règle numéro 1 : avoir des bases propres ! Inutile de conserver les adresses qui n’ont pas ouvert vos emails depuis 6 ans. Il faut régulièrement mettre à jour vos bases avec des données fraîches (on appelle cela « appending ») et vous assurer que vos emails sont encore réactifs.
Vous veillerez également à ce que les règles opt in des emails collectés les années passées depuis votre site internet, les réseaux sociaux ou des jeux concours en coregistration soient désormais conformes au RGPD…
La bonne nouvelle c’est qu’en faisant cela vous allez optimiser vos taux de délivrabilité, car rien n’est plus fatal à l’email marketing que de gros taux de bounce ! En envoyant vos emails à des contacts vivants et actifs, vous inscrivez vos campagnes emailing dans un cercle vertueux.
Règle n°2 : avoir des critères cohérents avec votre activité et vos messages. Que ferez-vous de l’adresse postale d’un contact si vous n’expédiez jamais rien ? Ou de la date anniversaire d’un client si vous vendez des objets cadeaux, et qu’il vous faudrait en réalité l’anniversaire de leur conjoint ?
Chez The Wave, nous avons des dizaines de critères dans notre base email, mis à jour quasiment en temps réel. Des critères qui vous permettent de prendre en compte un grand nombre de paramètres pour segmenter votre campagne et atteindre vos cibles avec une très grande efficacité. Nous pouvons vous aider à établir des scénarios d’emailing qui vont vous aider à avoir un retour sur investissement rapide. Chaque jour, nous aidons des clients à mener des campagnes emailing à fort ROI. Nous pouvons sûrement vous être utile !
Vous souhaitez une première approche de votre projet ? Prenez RDV directement avec Louis dans son agenda pour que nous en discutions !